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Des femmes se tiennent en rang et lavent le poisson aux tables de nettoyage.

Des femmes autochtones lavent le poisson durant la préparation de la mise en conserve dans une conserverie de la C.-B., Annieville. Image 1980-052-174, gracieuseté Musée de Delta et Archives.

Après l’étape de la boucherie vient celle du nettoyage. Au début, le saumon était transféré manuellement des tables de dépeçage vers des cuves en bois qu’un boyau remplissait d’eau froide, et qu’on appelait des bacs de refroidissement. Des femmes frottaient et grattaient le poisson pour en retirer les écailles et les restes d’entrailles.

À force de travailler dans les bacs de refroidissement dans un environnement froid, beaucoup de travailleuses finissaient par souffrir d’arthrite dans les mains.

Éventuellement, les bacs ont été remplacés par de longues tables en bois surmontées de tuyaux et de robinets. C’était une méthode plus efficace de laver de grandes quantités de poisson. Plus tard, les tables de bois ont été remplacées par des tables faites d’acier inoxydable ou d’aluminium.

Des femmes lavent le saumon dans un long évier sur un convoyeur. Des tuyaux au plafond apportent l'eau à chaque station.

Le nettoyage du poisson à la conserverie CeePeeCee, 1947. Image I-29659, gracieuseté du Royal BC Museum and Archives.

Des travailleurs nettoient les poissons à la conserverie Saint-Jean.

Tables de nettoyage de la conserverie Saint-Jean en 2017. Archives de la Société de la conserverie Gulf of Georgia, image gracieuseté Sheldon Nider.